La boulangerie de la rue des dimanches
Le récit :
Le héros de l’histoire est Jack, enfant du couple infortuné que forment Louis Talboni et Adèle Pelviaire. Louis et Adèle se retrouvent régulièrement pour interpréter Les Quatre Saisons de Vivaldi. Amoureux, ils vivent chichement car “ils ont complètement oublié d’apprendre un métier”. La famille connaît de grandes privations, mais Jack vit heureux, jusqu’au jour où, envoyé à l’école, il apprend la différence entre riche et pauvre. Plus tard, il est renvoyé de l’école et ses parents meurent. Il a sept ans et échoue dans un orphelinat, où il va passer sept autres années. À quatorze ans, il choisit de se former à la boulangerie, mais apprend peu de choses, tout juste à faire des baguettes pas trop cuites et des religieuses au chocolat. Il entre en apprentissage chez les Robic, où il passe sept autres années à se faire exploiter. Il parvient à acheter une boulangerie avec son petit pécule. Il se fait vite une clientèle importante, qui aime ses baguettes et ses religieuses. Il rend même les gens heureux. Sa pendule détraquée transforme le quartier : ce ne sera pas la semaine des Quatre Jeudis, mais celle du dimanche perpétuel. À la fin de l’histoire, riche et amoureux, Jack trouve le bonheur.