Un roman pour débattre du harcèlement scolaire au collège
Cible
Le roman s’adresse aux lecteurs de 12 ans et plus.
Tous les professeurs de collège peuvent s’emparer du sujet de cet ouvrage en prévoyant un temps de débat autour du roman, par exemple lors d’ateliers en vie de classe. Il peut aussi être étudié dans le cadre du cours de français ou être le point d‘appui d’un débat en lien avec le programme d’EMC.
Un roman engagé et puissant
L’histoire commence lors de la rentrée scolaire : Sarah et Orlane entrent toutes les deux en classe de troisième. La première est une élève populaire et charismatique. La deuxième est nouvelle dans l’établissement. Elles auraient pu devenir amies. Mais Sarah va en décider autrement… et Orlane va vivre un enfer.
L’histoire se déroule au rythme des 10 mois de l’année scolaire, de septembre à juin, plus précisément le 12 juin… date où survient l’inéluctable. Avec deux fins alternatives : une première fin qui choisit un réalisme sans concession, une fin alternative avec un retournement de situation plein d’espoir.
Le paratexte, la construction du roman (les deux voix, les dix mois, le présent narratif), les deux personnages en miroir, des éléments du polar ou roman noir, les pistes d’étude sont multiples.
Le roman
Ne vois-tu rien venir, Amélie Antoine, Syros, 2024, 304 pages, avec une préface d’Emmanuelle Piquet, thérapeute, spécialisée dans les souffrances scolaires. Le dossier pédagogique est réalisé par Gilberte Bourget.
Pour découvrir un extrait du roman, cliquer ici. [1]