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Exploitation de l’album "On fait le mur ?"

couverture de l'album On fait le mur
Couverture de l'album "On fait le mur", Canopé Éditions
Cet album est un bon support de travail sur le Street art dans le cadre du Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle (PÉAC) des élèves. Il permet de découvrir de manière ludique ce "musée à ciel ouvert" qu’est l’art urbain, et de croiser quelques-unes de ses grandes figures, pionniers ou artistes émergents actuels. Téléchargez en pièce jointe la fiche pédagogique.

Remarque : Un jeu concours est organisé pour tenter de remporter cet album ! Rendez-vous sur l'article de présentation.

Objectifs 

  • Découvrir un album à la fois narratif et documentaire, et ses spécificités.
  • Rencontrer de manière ludique et sérieuse quelques artistes importants du Street art.
  • Décrire, nommer et commenter leur univers.
  • S’exprimer sur plusieurs œuvres.

Matériel 

  • L’album On fait le mur, de Romain Gallissot et Sébastien Touache, L’Élan vert, CANOPÉ Éditions.
  • Facultatif mais préférable : Vidéoprojecteur ou TNI pour une découverte collective des pages (scannées) de manière optimale.

Durée 

  • Quatre séances de 50 minutes environ et une séance de 30 minutes environ.
  • Les séances 2 et 3 peuvent être considérablement allongées selon l’investissement des élèves.

Un parti-pris préalable : De la littérature de jeunesse à l’Histoire des arts

La découverte et l’étude d’un album n’est généralement plus une habitude en cycle 3, où on étudie plutôt des livres peu ou pas illustrés. Ici, ce qui motive la présence de cet album au cycle 3, c’est sa seconde partie, qui est un documentaire au texte complexe sur les artistes découverts au fil des pages de la première partie.

Le parti-pris de cette fiche d’exploitation de l’album On fait le mur est de ne pas dévoiler immédiatement la dimension « Histoire des arts » de l’étude de cet ouvrage, afin que les élèves en découvrent la première partie de manière neutre, et qu’ils l’apprécient pour elle-même, en tant que narration, sans a priori (et notamment pas celui d’avoir affaire à une narration préalable à une étude documentaire sur des artistes du street art, qui formera un support d’activités en Histoire des arts).

On présentera donc cet album simplement comme étant un ouvrage de littérature de jeunesse.

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